Ben je trouve ça impressionnant ! Surtout la fin de la vidéo où on les voit arriver sous le sommet du Spantik (référence Nervure…) devant une face minérale gigantesque. Et on aperçoit le plateau neigeux sur lequel ils vont finir par se poser à plus de 6000m, entre les crevasses ! Le tout pour repartir le lendemain, sans réussir le sommet, mais pressés car Antoine a le mal aigu des montagnes… Mais la porte de sortie n’est pas facile. Brouillard et vent arrière, en plus des conditions météo annoncées se dégradant dans la journée… Ambiance ! Comme quoi c’est ces moments de doute qui font l’aventure. C’est quand on en revient pour raconter qu’on en jouit le plus…
Enjoy !